

Petit lexique du freelancing pour les clients novices
Entrer dans l’univers du freelancing, c’est un peu comme débarquer dans un pays dont on comprend quelques mots, mais pas encore vraiment la langue. On reconnaît certains termes, on devine le sens d’autres… et parfois on nodde poliment en espérant que tout s’éclaire plus tard. Ce lexique freelance a été pensé pour éviter ces moments flous.
En moins de 100 mots : si vous cherchez à réussir un recrutement freelance, à comprendre comment collaborer avec un indépendant, ou simplement à ne plus confondre “brief” et “livrable”, vous êtes au bon endroit.
Comprendre le freelancing sans jargon (ou presque)
Lorsqu’une entreprise ou une startup cherche à avancer vite, elle fait souvent appel à un freelance. Mais qui est-il vraiment ? Un freelance n’est pas un salarié externe ni un consultant en complet trois-pièces venu impressionner la réunion : c’est un professionnel indépendant, autonome, qui met à disposition ses compétences pour une durée définie.
Graphistes, développeurs, consultants, spécialistes acquisition, créateurs de contenu… le freelancing couvre une infinité de métiers.
Et ça commence souvent par un mot qui revient partout : la mission.
Une mission, c’est le cœur de la collaboration. C’est votre projet : refaire une page web, lancer une campagne social ads, créer une identité visuelle, structurer une stratégie SEO. Le freelance s’y engage, en fonction d’un niveau d’expertise et d’un temps estimé.
À des moments, vous croiserez peut-être le fameux “TJM”, le Taux Journalier Moyen. Pas un code secret : juste le tarif par jour de travail. Il reflète l'expérience, la rapidité d’exécution et la capacité à gérer un projet de façon autonome.
Comment démarre réellement une collaboration ?
On imagine souvent que tout se joue au moment où l’on dit “ok, on y va”. En réalité, la magie opère surtout dans l’avant-projet. Et tout commence par un brief, un document souvent sous-estimé mais absolument essentiel.
Un bon brief n’est pas un roman, mais un éclairage : ce que vous voulez, pourquoi vous le voulez, pour qui et dans quel délai. Si vous deviez donner au freelance la carte du trésor, ce serait le brief. Plus il est précis, plus vous augmentez vos chances d’obtenir exactement ce que vous aviez en tête, voire mieux.
Vient ensuite l’étape que beaucoup sous-estiment : l’onboarding.
On pense souvent que ça concerne seulement les salariés, mais détrompez-vous : un freelance a lui aussi besoin d’être intégré, même brièvement. L’onboarding, c’est lui donner accès aux bons outils, présenter les interlocuteurs, clarifier le planning, les validations, le style attendu.
Ce qui nous amène à un autre mot clé : les livrables. Ils désignent tout ce que le freelance va produire pour vous. Une vidéo montée, un rapport SEO, un parcours utilisateur, un article optimisé, une maquette Figma…
Le plus important ? Que tout le monde s’accorde sur ce à quoi doit ressembler le résultat final. Les malentendus arrivent souvent quand on croit “que ça va de soi”. Spoiler : ça ne va jamais de soi.
Et puis il y a les deadlines. Une deadline bien posée est réaliste, discutée et parfois découpée en étapes, surtout si le projet est dense.
Enfin, il y a un mot qui peut transformer une collaboration : le feedback.
Un retour clair, précis, illustré, vaut mille messages vagues.
Les essentiels administratifs
Même si la collaboration est créative et fluide, il y a toujours un passage administratif. Heureusement, tout est simple quand on passe par Digitags.work, puisqu’on s’occupe de tout 😉
Le devis est le point de départ : une proposition commerciale du freelance, qui reprend le périmètre de la mission, le prix, les modalités, les délais. Le signer, c’est valider le cadre de la collaboration.
Ensuite vient la facture, qui peut être émise au début, à la fin ou au fil du projet, selon l’accord passé. Chaque facture comporte des mentions obligatoires, SIRET, TVA, description de la prestation, et marque la réalité administrative de la mission.
Dans certains cas, vous verrez apparaître la notion d’acompte. Entre 20 % et 50 % du montant total, il sert à sécuriser le temps que le freelance consacre à votre projet. Une pratique saine, notamment pour les missions longues.
Dans d’autres situations, notamment pour les grandes entreprises, vous croiserez le portage salarial. C’est une alternative qui permet au freelance de conserver son autonomie tout en bénéficiant d'une structure qui gère toute la partie administrative. Pour vous, client, c’est transparent : même collaboration, mêmes résultats, plus de conformité.
Recruter un freelance : plus simple que vous ne l’imaginez
Recruter un freelance n’est pas une loterie. C’est même tout l’inverse : lorsqu’on sait où chercher, comment analyser un profil, comment poser les bonnes questions, tout devient fluide.
La première étape consiste à clarifier vos besoins : ce que vous souhaitez atteindre, en combien de temps, et avec quel niveau d’expertise. Cela permet de cibler précisément les compétences nécessaires.
Ensuite, il y a l’analyse du profil. Au-delà du portfolio, il faut regarder la communication, la capacité à gérer un projet, l’expérience sectorielle, la façon dont le freelance explique son travail. On ne cherche pas seulement un expert, mais un partenaire de projet.
Et c’est là que les plateformes spécialisées changent tout.
Avec Digitags.work, vous accédez à une sélection de freelances triés sur le volet : des experts du digital validés sur leurs compétences, leur professionnalisme et leur communication. Le matching est rapide, les échanges sont humains, l’accompagnement est réel. En clair : on élimine le hasard, on gagne du temps, et on obtient les bons résultats.
FAQ : les questions que posent tous les nouveaux clients
Comment choisir le freelance idéal pour mon projet ?
Pour trouver la bonne personne, commencez par clarifier votre objectif et votre budget. Ensuite, examinez soigneusement le portfolio, les expériences similaires, mais surtout la capacité du freelance à comprendre votre besoin lors des premiers échanges. Un bon freelance pose des questions, propose une méthode, identifie les risques, et vous guide dans la structuration du projet. Sur Digitags.work, chaque talent est validé sur ces critères, ce qui facilite énormément le choix.
Comment éviter les imprévus ou les incompréhensions ?
Le secret réside dans la précision : un brief clair, un devis bien cadré, un planning partagé et des points intermédiaires réguliers. La plupart des imprévus proviennent d’attentes non formulées. N’hésitez pas à dire ce que vous aimez, ce que vous n’aimez pas, et à partager des exemples concrets. Digitags.work vous accompagne dans la structuration de cette collaboration, pour qu’elle soit sereine et productive du début à la fin.
Pourquoi passer par une plateforme comme Digitags.work ?
Parce que tout le travail difficile: trier les profils, vérifier les compétences, analyser la communication, est déjà fait pour vous. Une plateforme spécialisée ne sert pas seulement à accélérer le recrutement, mais aussi à sécuriser la relation. Digitags.work ajoute à cela un accompagnement humain, une compréhension fine des métiers digitaux et un matching intelligent. Résultat : vous gagnez en rapidité, en qualité, et en tranquillité.
Conclusion : le freelancing devient simple quand on est bien accompagné
Avec ce lexique freelance, vous avez désormais tout en main pour comprendre les termes essentiels, collaborer plus sereinement et recruter les bons experts. Le freelancing n’est pas un univers complexe : c’est un espace de flexibilité, de créativité et d’efficacité, à condition d’avoir les bons repères.
Et si vous voulez avancer encore plus vite, les talents de Digitags.work sont prêts à booster vos projets.
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